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Les 5 erreurs à ne plus refaire!

  • soniadjebaili
  • 11 mars 2015
  • 3 min de lecture

  • Ne pas assez écrire est une première grande erreur qui m'a poursuivi des années durant ! Ne pas confondre l'humilité face à l'inspiration (force indomptable, il est vrai) et la paresse, gros défaut en soi, à corriger d'urgence ! Ma solution : la routine d'écriture à installer rapidement, tranquillement dans mon quotidien.

  • Ne plus envoyer de manuscrits mal travaillés aux maisons d'éditions.

J'ai malheureusement fait l'expérience de projets envoyés dans la hâte tout simplement parce que je me sentais habitée par l'empressement de montrer ce dont j'étais capable. Grosse erreur !!

L'étape de la ré écriture est plus essentielle que je ne me l'imaginais à l'époque.

A force de persévérance le goût du travail bien fait a dépassé celui d'être reconnue et à force de recherches j'ai trouvé une solution pour mon bel appétit de travail :

L'auto édition !! Un domaine pluri disciplinaires qui me comble et dont j'aurais le temps de vous parler plus précisément dans d'autres articles.

  • Ne plus confondre confiance et naïveté vis à vis des avis extérieurs !

Refiler tous mes textes ( de l'époque) à la première personne qui s'intéressait à ce que je faisais a été une expérience amère ( ça, vous l'aurez compris!)

Ici pas de solution miracle, rediriger la confiance vers soi pour avancer dans son travail plutôt que d'attendre l'approbation extérieure aveuglément ! Un peu de maturité a fait le reste !

  • Ne plus tourner le dos à la formation!

Avoir peur de l'inconnu ( Est-ce que je vais y arriver ? Et si je n'avais pas le temps pour ça ?…) est une erreur qui me paralyse et devient ridicule, voir handicapante quand on veut devenir un écrivant(ain) qui se respecte ...et respecte ses lecteurs !

Si l'occasion de se former se présente, il est absolument crucial que je la saisisse. Plus encore je recherche activement à me former pour me professionnaliser dans des domaines que je connais « Ecrivain public » et l'anglais, et, de manière autodidacte je travaille mes lacunes. Les domaines de formation ne manquent pas, il n'y a plus qu'à choisir en fonction des buts à atteindre.

  • Le dernier point n'est pas le moindre car il regroupe, je dirais, la question et la solution à tous les problèmes pré cités !

En effet, refuser de suivre une psychothérapie a été LA plus grosse erreur que j'ai faite ! Même si l'on répète que les mots guérissent les maux, chose à laquelle l'on peut adhérer ou pas, la question pour moi n'est pas là ! Je n'ai pas choisi d'écrire dans ce but de me panser, en tous cas pas pour la plupart de mes projets. Certains, oui !

Les mots me font du bien car ils me transportent, là ils veulent, eux, parfois loin de mes douleurs, de mon quotidien.

Oui mais ils n'effacent pas la plaie, ne la traitent pas.

Comment ai-je pu accepter de traîner des symptômes aussi paralysants ?

Les blessures de l'âme ont des effets qui se répercutent dans ma vie d'écrivant. La fluctuation des états d'âme me rendent procrastinatrice, la panique m'empêche de bien communiquer à l'oral (parfois) et le sentiment d'infériorité me fait faire du sur place.

Cela suffit! Le travail sur moi même et la sophrologie m'ont beaucoup aidé!! Faut passer maintenant à la vitesse supérieure!

Ouvrir une grande porte qui ne me donnera pas forcément des réponses, n'est pas ce que je recherche : juste une p'tite psychothérapie pour obtenir des outils efficaces à mettre en pratique dans les situations problématiques me conviendrait !

 
 
 

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