top of page

Internet, le meilleur ami de l'autodidacte

Quand j'ai compris que mon travail rédactionnel et mes ID plaisaient j'ai voulu, en 2011, foncer. J'étais décidée à me faire publier. Décidée, oui, mais perdue !

Internet m'a offert un large panel de professionnels et d'amateurs, de gens au grand cœur, qui ont tous un point commun :

le goût du partage.

Grâce à eux, j'ai pu taper aux bonnes portes, demander ma route et même être accueillie dans leur auberge folle où gratuitement, amoureusement tout m'était expliqué( merci Fred!).

Il m'a fallu un nombre incalculable d'heures pour arriver à la conclusion que l'auto édition était ma chance. Je ne me souviens même pas exactement de ce qui m'a fait prendre ce tournant plutôt que de rester sur la voie de l'édition traditionnelle. Mais ce qui est sûr c'est qu'à force de chercher à être éditée, à force de passer des heures, non stop parfois, sur internet à décrypter les lignes éditoriales de chacune de ces maisons, à rêver devant les blog vitrines de certains auteurs jeunesse...à force de chercher tout court, on trouve !

Au début, je me laissais guider par le moteur de recherche, en quête de maisons d'éditions spécialisées dans le conte.

Quand par hasard le mot autoédition s'est pointé devant moi, les choses se sont accélérées, éclaircies.

Thebookedition, référencement oblige, apparaissait le plus souvent. Il a été ma première révélation. Je lisais tous les témoignages d'auteurs, la marche à suivre pour, selon eux, publier soi même nos ouvrages sans avoir à débourser un euro. Encore mieux, toujours selon eux, je toucherais des gains sur les ventes qu'ils géreraient. Commencer à gagner de l'argent ne m'enchantait pas plus que l'aspect autodidacte du travail : elles se complétaient !

Je n'allais pas attendre l'approbation de quelqu'un pour publier mes livres. J'allais apprendre à le faire seule !

La réalité dépasse, à ce moment là, mon rêve !

Je téléchargeais vite leur gabarit pour la mise en page de mes textes et continuais mes recherches. Plus j'écrivais sur du 12/18cm et m'informais sur l'autoédition, et plus la tâche semblait s'obscurcir.

Le côté fiscal et social se présentaient comme des trouble faits, me faisant miroiter des obstacles à mon cheminement. On ne pouvait pas vendre ses livres sans avoir à en rendre des comptes au fisc.

Être en règle me plaisait, avoir un statut ne me faisait pas peur.

Les recherches s'amplifiaient tout en me sentant quand même à l'étroit sur ce site. Je tournais en rond sur le sujet. Je cherchais encore plus.

Ma découverte sur internet la plus pertinente, complète et humaine a été celle ( encore une fois par hasard!) du site « Écrire et s'enrichir » .

Je le répète, mon rêve au départ n'était pas de faire fortune avec mes contes, mes écrits en général. Ce site, il faut le dire, est arrivé au bon moment sur ma route.

J'y ai appris que j'avais du pain sur la planche : conversion, promotion, communication, démarchage du graphiste… Tous les aspects que je n'avais pas encore exploré m'étaient présentés. Toutes les questions qui me taraudaient trouvaient réponse efficace sur son blog, rapidement. Et le tout dans une ambiance amicale, sans ton moralisateur, ni grossière auto publicité.

Évidement, j'ai fait d'autres découvertes. Je remercie le travail de MIAblog, celui de TOUT POUR L'AUTEUR, pour ne citer qu'eux. Le site d'AUTRES-TALENTS propose comme THEBOOKEDITION ses services mais offre aussi une mine d'informations qui peuvent être utiles.

En tous cas, j'ai trouvé avec internet comment assouvir ma soif d'apprendre. J'ai repéré de bons coins chauds où faire des pauses quand je suis fatiguée d'être perdue.

Et puis, surtout, j'ai « rencontré » de bons compagnons de route qui tous regardent dans la même direction que moi : le succès !

Featured Posts
Revenez bientôt
Dès que de nouveaux posts seront publiés, vous les verrez ici.
Recent Posts
Follow Us
  • Facebook Classic
  • Twitter Classic
  • Google Classic
bottom of page